
mardi, février 27, 2007
dimanche, février 25, 2007
Sortie bateau Grau du Roy





Goélan cendré.
jeudi, février 22, 2007
Le roitelet triple bandeau ...
On ne peut pas le manquer avec sa couronne toute en or à qui il doit sans doute son nom de roitelet.
Exercice d’identification rapace
Reprenons le jeu lancé par Lionel en un peu plus difficile il faut reconnaître le rapace à partir de sa silhouette en vol.
C’est une situation courante un rapace en vol dans le ciel est en contre-jour et les couleurs se distinguent mal.
Voici la liste des rapaces présentés, pour faciliter la tâche il n’y a qu’une silhouette par oiseau.
Bondrée apivore
Buse variable
Circaete Jean le blanc
Epervier
Faucon crecerelle - Faucon crecerellette - Faucon Pélerin
Barthelasse
Une ombre au tableau, la decouverte du cadavre de 2 renards rangés côte à côte, tués au fusil ou piéges sans doute...Il y a encore du travail à faire pour proteger nos amis les" bêtes".
Ça le fait pas
Nous vous attendons!
jeudi, février 15, 2007
lundi, février 12, 2007
C'est une photo trop facile
vendredi, février 09, 2007
lundi, février 05, 2007
A mon tour....
Petit ,mes parents louaient une maison avec ,chance pour moi,un jardin.
J'avais trois animaux qui m'accompagnaient de partout:2 chiennes(targa et zoë) et une canne ( canny bien sur) et mon passe temps favori à l'èpoque etait de traquer lézards, insectes,grenouilles et autres bestioles pour les mettre en "vivarium"un jour ou deux,puis de les relacher jusqu'a leur prochaine capture...
La na ture et la faune m'ont toujours intéressé,plus tard j'avais découvert une nichée d'effraies dans une vieille tour j'allais les voir de temps en temps,n'osant même pas faire de photos pour ne pas les déranger,jusqu'a ce que je trouve les petites effraies mortes au pied de la tour( la caisse dans laquelle elles etaient ,avait été jetée en bas avec les petites chouettes)Cet acte odieux m'a révolté et j'ai cherché quels etaient les organismes qui protégeaient les oiseaux c'est comme cela que j'ai adhéré à la L P O ,c'é.tait il y a un peu plus de trente ans. Malheureusement il n'y avait pas de groupes locaux ,et mes seuls contacts etaient par voie postale,ah! si il y avait eu la L P O paca et ses relais....
dimanche, février 04, 2007
Je voudrais vous expliquer les raisons de mon adhésion.
Papa était un fameux fusil et rapportait toutes sortes de bêtes mortes que nous mangions : chevreuils, sangliers, lièvres, perdreaux et colverts.
Nous avions à cette époque plus de gibier dans nos assiettes que de viande de boucherie.
Parfois, mon père trouvais bon de me rapporter quelque animal qu’il avait tiré, disaient-il, « pour me le montrer » : héron, loutre, blaireau et chat sauvage pour citer ceux de mes souvenirs, que nous ne consommions pas.
A cet époque le rapace était un "nuisible" sur le quel se vengeait tous les chasseurs bredouilles.
Gamin, je reniflais l’odeur de toutes ces bêtes, une odeur forte de sauvage et de sang, je caressais tous ces petits cadavres et je me souviens qu’en secret je songeais à leur redonner vie.
Je n’aime pas la chasse, depuis très longtemps et ce d’autant que les chasseurs d’aujourd’hui n’ont même plus l’excuse de nourrir leur nichée avec le produit de leur chasse. Je ne comprends toujours pas le plaisir que procure l’acte de tuer.
Il y a dans cet acte tout ce qui reste du prédateur que nous sommes, même si, peu de prédateurs autres que l’homme tuent par plaisir ou par jeu !
La chasse et la guerre sont deux activités de même "nature" (un autre mot conviendrait sans doute mieux...).
Les oiseaux sont les bêtes sauvages les plus facile à voir, car ils volent, du coup leur silhouette se détachent sur le ciel : ils animent la nature en tous lieux, par leur vol et leurs chants ...
Imaginez un monde sans oiseaux, ce serait comme s’il manquait les feuilles aux arbres toute l’année, oui ce serait tous les jours l’hiver et nous finirions sans doute par sombrer dans la mélancolie. Je peux rester des heures à contempler la mangeoire et leur bain, à rechercher le nouveau venu : l’oiseau rare.
Si nous sommes les être supérieurs que nous prétendons être alors nous avons plus de devoirs que de droits, et le premier des devoirs est d’assurer la survie des plus faibles non de les massacrer, avec toutes nos machines et nos poisons.
Il m’arrive encore très souvent de rencontrer le paysan-chasseur, celui qui se croit grand ordonateur de la nature :
Il façonne les paysages.
Il s’octroi le droit de vie et de mort sur tout animal qui traverse "ses terres" avec pour seul critère son propre profit.
Il établit un étang dans le creux d’un vallon, y élève des carpes, y aménage une île avec nichoirs pour colverts : qu’il tirera le moment venu...
Il massacrera le héron qui au contraire du canard mange son poison, en dépit de tous les lois et règlements.
De même, dans notre belle Provence tout propriétaire considère avoir droit de chasse sur ses terres en violation de toutes les lois en vigueur, toute l’année et de jour comme de nuit. Il suffit de tendre l’oreille pour s’en convaincre.
Il n’est d’autre besoin pour les empêcher de nuire que d’être là au milieu de la nature à regarder et observer, d’exister en fait et ils finirons bien par comprendre que leur temps a passé.
Plus nous serons nombreux à contempler la nature et les oiseaux et plus nous ferons reculer les barbares et la barbarie et nous y gagnerons aussi quelques nouveaux amis.
vendredi, février 02, 2007
Petite amélioration
Vous pouvez désormais indiquer une catégorie à chacun de vos articles, cette ou ces catégories porteront le doux nom de libellé au bas de l'article en cliquant sur le libellé "Blog" par exemple vous verrez tous les articles qui s'y rapportent.
Nous en avons parlé ce matin avec Francis, voilà c'est fait...